Colette dans la cour des grands

De sa Bourgogne natale, elle a gardé l’accent et le goût pour toutes les choses de la nature. De sa mère Sido, elle a pris l’audace, la volonté, l’amour de la vie. Mais c’est du plus profond d’elle-même qu’elle a tiré les mots et les phrases qui racontent, qui décrivent, qui enchantent. Seule femme à avoir été honorée de funérailles nationales, soixante-dix ans après sa mort, elle reste un des écrivains français majeurs.

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